• Samedi 8 février 2014 à la salle du marché couvert.

    Avec en première partie l'école de musique de la vallée.

    Entrée 12 euros. 21h.

    Nuit du rock, Barcelonnette

     

    DISSONANT NATION

    À l’affiche de cette 4e Nuit du Rock, Dissonant Nation, un groupe montant de la scène rock française. Le groupe a déjà plus de 200 dates au compteur, des clubs locaux aux salles nationales, des festivals (Francofolies, Rock en Seine, Marsatac) aux soirées canadiennes, slovaques ou belges.

    Lucas, guitariste chanteur, Loic, bassiste et Simon, batteur, à la vingtaine toute neuve, du groupe-trio Dissonant Nation, originaire du sud de la France, pas loin de Marseille, préfèrent, aux formules paresseuses et aux gimmicks soldés, une création débridée, où tension, électricité hybride, poésie pop (au sens où l’entendaient les années 60) et fantômes bien présents squattent des chansons déjà racées, sûres de leur potentiel. Excitantes. Ici, on peut croiser presque charnellement Sonic Youth, Andy Warhol, Ziggy Stardust, Nick Cave, Travis Bickle (oui, celui de Taxi Driver), un punk létal comme un rock imagé, une pop psychédélique comme des mélodies qui s’imposent sans tapiner. Venez les découvrir ce soir : sur les planches, Dissonant Nation s’incarne, il brûle d’un feu autant animal que possédé.

    En première partie, l’atelier Rock de l’École artistique de l’Ubaye et un invité surprise.

    Suivi du groupe



    JUNKEY MONKEYS

     

    Junky Mon-Qui ?

    Ce sont quatre amis de longue date réunis par amour de la musique, originaires du Sud de la France.

    Issus d’univers différents, ils s’enrichissent mutuellement, et leur musique s’en ressent. Leur style s’oriente Punk/Rock.

    Leur inspiration se puise essentiellement dans les affres de la vie amoureuse, et du rejet des normes d’une société non-conforme à leurs aspirations.


    L’énergie qu’ils véhiculent sur scène est le reflet d’une jovialité propre à leur état d’esprit, où le sentiment de vivre chaque secondes à fond règne en maître.


    Les Junky Monkeys sont des singes déjantés, survoltés et sans états d’âme.

     

     

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  • Concert gratuit au Zocalo contre les IST à 20h30.

    Samedi 25 janvier, Concert de Gamac

    Entre Marseille et Briançon, six musiciens aux expériences et influences distinctes décident de créer Gamac fin 2010 lors d'unerésidence où ils assurent la première partie de Kwal.

    Après la sortie d'un premier EP et de nombreuses scènes, partagées avec Under Kontrol, Odezenne, BatpointG, Massilia Sound System, Gari Grèu, Hugo Kant, Hilight Tribe, Lyricson ... Gamac entre de nouveau en résidence pour développer son show et son répertoire dans un courant «Hip Hop Alternatif».


    Empruntant aussi bien à la Pop qu'au Jazz, au Rock, à la Soul, au Funk, au Reggae, au Blues et à d'autres encore, le groupe revient àl'essence même de la musique hip hop, la rue, mais aussi l'amour, la politique, la guerre.

     Gamac s’interroge et interpelle son public autour du leitmotiv :

    «N'oublions pas de penser, n'oublions pas de rêver ...»

    ns pas de penser, n'oublions pas de rêver ...»

    extrait de leur site : http://www.gamac.me/

     

    Bon vent !

     

     

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  • Le mardi 21 janvier, le théâtre El Zocalo accueille la pièce de théâtre la chute d'après l'oeuvre d'albert camus, par la compagnie "Tetra Art".

    Entrée : 12e.

    Mardi 21 Janvier, La chute au Zocalo

    Résumé :

    La chute d’Albert Camus par la Compagnie Tetra Art « Puisqu’on ne pouvait condamner les autres sans aussitôt se juger, il fallait s’accabler soi-même pour avoir le droit de juger les autres. » « L’homme qui parle dans La Chute se livre à une confession calculée. Réfugié à Amsterdam dans une ville de canaux et de lumière froide, où il joue à l’ermite et au prophète, cet ancien avocat attend dans un bar douteux des auditeurs complaisants. Il a le cœur moderne, c’est-à-dire qu’il ne peut suppor ter d’être jugé. Il se dépêche donc de faire son propre procès, mais c’est pour mieux juger les autres. Le miroir dans lequel il se regarde, il fnit par le tendre aux autres. Où commence la confession, où l’accusation ? Celui qui parle dans ce livre fait-il son procès ou celui de son temps ? Est-il un cas particulier ou l’homme du jour ? Une seule vérité en tout cas, dans ce jeu de glaces étudié : la douleur, et ce qu’elle promet. » Ce récit d’Alber t Camus a été publié à Paris chez Gallimard en 1956. C’est la dernière œuvre achevée par l’auteur. Un an plus tard, il recevra le prix Nobel de littérature.  

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